Il se peut qu’on s’évade

photoroman
Il se peut qu’on s’évade
(avec des photographies de Gérard Rondeau)

Thierry Magnier, collection « Photoroman », 2011
« Je crois que j’ai fait des choses que je n’aurais pas dû, mais je ne me rappelle pas quoi. Des choses graves qui peuvent mener en prison, en tout cas. Un officier de police est même venu au musée me poser des questions. Je lui ai répondu que je ne savais rien, et il m’a laissé tranquille. Je n’ai aucune difficulté à mentir. Les humains et leurs interrogations ne me touchent pas. Ils sont trop loin de moi. Seule la peinture, la sculpture, le dessin peuvent provoquer en moi des émotions. Si j’en suis privé, on me prive de vie… »

Une série de photographies de Gérard Rondeau a été confiée à Cathy Ytak. Elle s’est aventurée dans l’écriture d’un roman où ces photographies ont provoqué la fiction.

Extrait de la quatrième de couverture de « Il se peut qu’on s’évade ».

Ce que la presse en a dit

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