Ça change tout !

« Avant d’aimer Baptiste, Camille a aimé Louis, Sacha, Alix et Samir.
Avant d’aimer Camille, Baptiste a aussi aimé Alix, puis Yaël et Capucine… »

Présentation de l’éditeur :
Cathy Ytak raconte l’histoire de Camille et Baptiste sans tomber dans les clichés, c’est le moins qu’on puisse dire. Avec beaucoup de sensibilité mais aussi de pudeur, elle décrit la naissance de leurs sentiments amoureux.

Ça change tout !
texte Cathy Ytak
Illustrations Daniela Tieni
Editions L’atelier du poisson soluble
32 pages ; 26,3 x 20 cm ; relié
ISBN 978-2-35871-102-9
Sortie mars 2017.

Ce que j’en ai dit sur mon blog, à sa sortie.

Dans la presse et sur les blogs :

[…] Les mots de Cathy Ytak, les illustrations de Daniela Tieni décrivent l’amour naissant entre Camille et Baptiste. Entre tendresse et battements de cœur, échanges de mots et de cadeaux, cet amour sonne naturel, évident. Lorsque l’auteur livre, à la fin de l’album, cette information supplémentaire que Camille est un garçon, on doit avouer n’y avoir pas pensé, on parcourt à nouveau les pages, on vérifie, on constate : oui, c’est toujours aussi évident.[…]
Lire la critique entière sur le blog Croquelinottes

[…]Ça change tout est un très bel album, un de ces albums à la fois poétique et plein d’amour… Sous les mots de Cathy Ytak, l’histoire d’amour de Camille et Baptiste voit le jour. Une histoire entre deux personnages assez intemporels – des enfants, des adolescents ? – une histoire toute simple et pourtant très belle, une histoire d’amour, avec comme un refrain dans l’histoire « Qu’est ce que ça change ? ». Une question récurrente avec une réponse principale : TOUT. Parce que chaque histoire d’amour est différente.[…]
Lire la critique entière sur le blog Délivrer des livres

[…]Un album calme et enjoué tout à la fois sur la sentiment amoureux (on apprendra plus tard que Camille est un garçon), sentiment amoureux décrit comme naturel et comme une évidence. Petits poèmes, petits mots à l’oreille, douces attentes dans le cadre dominant  de l’école et de sa cour.[…] Beaucoup d’élégance pour traiter le sujet. […]
Lire la critique entière sur le blog Parolimage